Cuisine: la recette est dans le livre

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Les repas sont la convivialité. Les repas sont de la politique. La nourriture est la religion. Les repas sont de fond. Les repas sont une consolation. Les repas sont de l'énergie. La nourriture nous reconnaît et nous reconnaît. Cela peut nous aider à donner un sens à notre propre monde. Nous vivons dans une culture dans laquelle #foodporn est parmi les hashtags les plus populaires et la recherche de la meilleure nouvelle tendance des ramen ou des toasts à l'avocat est un passe-temps très populaire que la collecte de timbres. De même que les «passionnés de cuisine» parmi nous ne peuvent pas faire le plein de livres sur les repas. En plaçant des repas imaginaires sur la page Web, j'ai beaucoup réfléchi au rôle central que les repas jouent dans nos vies. Les repas sont de l'amour. Les repas sont la convivialité. Les repas sont de la politique nationale. Les repas sont des croyances religieuses. Les repas sont de l'histoire. La nourriture est une consolation. Les repas sont de l'énergie. Les repas nous identifient et qui nous sommes. Cela peut même nous aider à paraître sensible à notre propre planète. Nous vivons dans une tradition où #foodporn est parmi les hashtags les plus populaires et la recherche du meilleur nouveau motif de ramen ou de toast à l'avocat est vraiment un passe-temps plus populaire que la collecte de timbres. De même que les «passionnés de cuisine» parmi nous ne peuvent pas faire le plein de livres sur la nourriture. «J'ai mûri dans une famille où les repas étaient le mal réconfortant (ou le mauvais confort). Ma mère, à qui la dimension vestimentaire était le Saint Graal, regardait chaque mastication que je prenais. Au restaurant, au départ, elle ne commandait pas ce qu'elle voulait, puis elle prenait des bouchées de mon plat. Dois-je protester, elle dirait: «Si vous m'adorez, vous discuterez de votre nourriture.» Souvent, nous n'avons guère goûté aux repas à la maison et les repas étaient au mieux aléatoires. Ma sœur a grignoté des macaronis et fromages Kraft non cuits. J'ai consommé un repas de matzo non cuit. Nous vivions de céréales froides, qui sont à cette époque mes meilleurs plats préparés. Ma mère a caché des biscuits et des desserts dans notre énorme cuiseur anti-stress, puis a posé le pot sur la surface même de nos armoires déjà plus hautes. Ma sœur et moi avions moins de dix ans, mais une cuisinière anti-stress ne nous convenait pas tous. Je suis étonné que nous ne soyons pas devenus des alpinistes pour la façon dont nous avons souvent escaladé les sommets, ce qui a donné des bonbons cachés. " «Je suis issu d'une famille immigrante. Mes mères et mes pères venaient de deux pays qui, à l'époque, avaient fait l'expérience d'un petit conseil ici dans le You.S - même à New York où j'avais été mis au monde et élevé. Mon père était de Trinité-et-Tobago et ma mère était d'Iran. J'ai également été élevé dans lequel les gens ont néanmoins vraiment tenté de s'assimiler pour minimiser leur tradition indigène en utilisant leurs enfants. La seule chose qui restait un bon lien était la nourriture que nous avons mangée. J'ai réalisé dès mon plus jeune âge que je pourrais amener mes mères et mes pères à parler de leurs maisons chaque fois que nous avions consommé les aliments qu'ils avaient préparés de leurs civilisations particulières. Mon père, en particulier, avait été un conteur d'histoires et si vous pouviez lui parler pendant qu'il cuisinait, vous obtiendriez les meilleures histoires. «Le personnage principal de mon roman est fondé sur Lee Miller, une femme qui s'est réinventée plusieurs fois dans sa propre vie - d'abord en tant que mannequin, puis en tant que photographe, et enfin en tant que cuisinière gastronomique qui a écrit pour Vogue ainsi que pour d'autres publications féminines. du jour. Dans toutes mes études sur elle, il n'y avait clairement aucune mention de sa passion pour les repas avant qu'elle ne soit cuisinière. Cela ne me fait aucune perception. De toute évidence, elle a dû aimer la nourriture - et elle a déménagé à Paris en 1929, où elle aurait apprécié des repas très variés - et probablement beaucoup plus délicieux - que ce qu'elle a mangé en grandissant à Poughkeepsie. Je voulais que sa passion pour les repas soit palpable à travers tout l'innovation, à la fois pour préfigurer son passage à la cuisine à l'avenir, mais aussi simplement parce que je pense que profiter des repas - profiter des plaisirs de tout le corps - fait partie intégrante de qui elle est en tant que un caractère. Je vois Lee Miller être une femme aux appétits voraces: elle était très ambitieuse et excitante, et extrêmement sexuelle. La nourriture semblait être un moyen supplémentaire de comprendre sa faim en général. «En créant, je pense que les repas sont un excellent moyen de transport. Si je voudrais détailler un environnement de bureau avec des repas dont vous n'avez jamais entendu parler, mais que je décris une croûte feuilletée, la façon dont une gélatine se présente sous une lame, ainsi que l'odeur de sucre brûlé, vous pourriez être là. Vous sentez et savourez et découvrez ce repas. Cela donne une histoire, des histoires magiques anciennes incluses, un sentiment de réalité.